Felipe Pantone

Contactles←→s,
2020 – Digital Exhibition

Contactless is an art exhibition by Felipe Pantone at albertz benda in New York City on view from July 16th through August 28th, 2020.
Many of the works that Pantone created for Contactless were intented for the viewer to touch and reshape by hand.
Adapting to support health guidelines that preclude physical interaction, Pantone has developed digital copies of the works in order to translate the physical experience into your device here.

Felipe Pantone [b. 1986, Buenos Aires, Argentina] lives and works in Valencia, Spain. Beginning his career as a graffiti artist at the age of twelve, he went on to receive a degree in Fine Art from University in Valencia. Recent exhibitions include Beyond the Streets New York (2019) and Los Angeles (2018) curated be Roger Gastman; Art from the Streets, ArtScience Museum, Singapore (2018); Chromadynamica Dimensional, Mesa Contemporary Arts Center, Mesa, AZ (2017); and Vitality and Verve at the Long Beach Museum of Art, Long Beach CA (2016).

For Pantone, his art is a meditation on the ways we consume visual information. Drawing inspiration from kinetic artists like Victor Vasarely and Carlos Cruz-Diez, Pantone’s contemporary work produces the sensation of vibration as the viewer’s position changes in relation to the work. To achieve the desired effect, the artist utilizes modeling software that allows for 3D insights into a project, which canthen be translated into frescoes, murals, paintings, and sculptures giving tactile merit to what is occurring in the digital world.

DR / Felipe Pantone Studio

Thomas Lévy-Lasne

L’asphixie, 2020

Thomas Lévy-Lasne est un peintre né en 1980 à Paris, il vit et travaille à Saint-Ouen. Il est représenté par la Galerie Les Filles du Calvaire et ancien pensionnaire de la Villa Médicis (18- 19).
Diplômé des Beaux-Arts de Paris, il travaille cinq ans pour le critique d’art Hector Obalk à filmer tous les musées d’Europe pour la télévision.

Aquarelles de fête, fusains de manifestations, dessins érotiques de webcam, peintures à l’huile de la solitude urbaine, il aborde d’une manière classique les sujets les plus divers et les plus contemporains.

Pour le cinéma il tient le premier rôle du moyen métrage multi-primé (Berlinale, Angers, Brive…) « Vilaine fille, mauvais garçon » de Justine Triet ( Voir le film / mot de passe : loreleï), collabore au scénario de « Victoria » deuxième long métrage de cette dernière et réalise son premier court-métrage « Le Collectionneur » (2017) ( Voir le fim / mot de passe : utpictoria).

En 2014, il co-organise le colloque « La Fabrique de la peinture » au Collège de France dans avec Claudine Tiercelin. 16 peintres témoignent de leurs pratiques dont Jeff Koons, Chéri Samba, Anne Neukamp ou Jules de Balincourt. Voir le colloque

Il programme «La vitalité de la peinture, la scène française» à la Villa Médicis en 2019, conférence de deux heures présentant 120 peintres de la scène contemporaine en présence de Claire Chesnier, Mireille Blanc, Maude Maris et François Boisrond. Voir la conférence

Il y organise également avec neuf autres pensionnaires, le chantier de réflexion «Reconstruire le Regard» pendant deux jours autour de la question de l’Anthropocène et sa représentation, regroupant des intervenants comme le philosphe Jean-Pierre Dupuy, la metteuse en scène Frédérique Aït-Touati, l’architecte Philippe Rahm ou le miltant Cyril Dion. Voir le projet

« Ma peinture tourne autour d’une esthétisation calme du réel : un spectacle à échelle humaine, un matérialisme confiant, un premier degré souriant, une attention au tragique de l’existence en tension avec un appétit de peindre et une joie à rendre le trésor quotidien qu’est le monde des apparences.Cependant mon réalisme bute depuis quelques années sur une aporie : j’ai l’impression désagréable de m’inscrire dans un temps long menacé par l’urgence de notre vulnérabilité. La continuité de nos modes de vie dans des conditions satisfaisantes me paraît un défi collectif majeur. Reste alors à trouver des pistes pour intégrer ce vertige : l’exposition « L’asphyxie » à la galerie Les filles du calvaire est une première tentative. » – Thomas Lévy-Lasne

DR / Thomas Lévy-Lasne

Pratique:
GALERIE LES FILLES DU CALVAIRE
17 RUE DES FILLES DU CALVAIRE
75003 PARIS
Exposition du 4 septembre au 24 octobre 2020
[ Vernissage le 3 septembre de 15h à 21h ]


Aquarelles

Maria-Carmen Perlingeiro, a selected view

Chaque œuvre peut apparaître, briller de tous ses feux, se soustraire à nouveau, et progressivement nous illuminer un peu. Entre minimalisme formel et suggestions figuratives, plénitude et ouverture, brutalité et préciosité, fraction et union, clair et obscur, les œuvres se présentent parfois comme de véritables oxymores visuels.

Lionel Gras

DR / Maria-Carmen Perlingeiro,
photographies par l’artiste

Adrien Savigny – Welcome to my island

Mon approche du dessin est intuitive. Au moyen d’un trait, d’un cercle ou encore en saturant une surface, je désire créer un espace où se côtoient des formes pleines et vides. Je ne cherche pas à représenter des objets ou une matière particulière. 

Par la finesse du trait, à l’encre ou au crayon gris, j’aimerais happer le spectateur pour le plonger dans la contemplation d’un A4 ou d’un grand format. 

En premier lieu, le crayon gris: les différents tons de cette technique, secs et gras, me poussent à en explorer toutes les facettes. Les formes géométriques ou organiques qui délimitent les textures que je crée proviennent de mon observation de la nature ou de l’architecture. 

Ensuite, mes travaux à l’encre sont dans la continuité de ces recherches. J’utilise un élément simple répété dans le but de constituer un entrelac de formes jusqu’à atteindre une matière organique. Les variations de bleus se mélangent pour former un relief. A mes yeux, il s’agit de cartographies d’îles imaginaires. 

Enfin, les dessins au trait à l’encre noire sont une recherche autour de la fragilité d’un geste simple, répété jusqu’à former une trame.

Je vis et travaille à Winterthur, Suisse.

DR / Adrien Savigny

David Weber a.k.a. SWOX

Né en 1977, David Weber, habite et travaille à Lausanne.

La fin des années quatre-vingt marque le début de sa quête artistique par le tag et le graffiti en recherchant à donner du style aux lettres de l’alphabet. À douze ans, il vide ses premières bombes d’aérosol et une dizaine d’année plus tard, dépose marque en taguant et peignant sous le pseudonyme SWOX.

Au fil des années, la lettre, suggérée ou évidente, devient la pierre angulaire de sa création artistique. En fusionnant de grands aplats de couleurs créés à l’aide de larges pinceaux ou d’aérosols avec d’épaisses couches de peinture acrylique façonnée à l’aide de spatules, SWOX apportent une élégante diversité de textures à ses créations. On peut ainsi lire dans son travail un objet architectural, une forme graphique ou une sculpture à caractère abstrait.

Ne se reposant jamais sur ses acquis, David Weber fait continuellement évoluer son art en explorant de nouvelles techniques et de nouveaux supports. Dans une quête de la forme idéale, de reliefs subtils et de fins jeux de couleurs, la (ré)interprétation de la lettre permettra toujours de s’immerger dans l’univers de la géométrie déstructurée de SWOX.

ANEX
(Photo : Tim Cachot)
BUND
(Photo : Tim Cachot)
COSMO
(Photo : Tim Cachot)
DAIE
(Photo : Tim Cachot)
FLIP FLOP
(photo : Agence du Lion d’Or)
LA VILLA
(Photo : Tim Cachot)
LAVAR
(Photo : Tim Cachot)
OULEWAY
(Photo : Tim Cachot)
PARIGO MAX (close-up)
(Photo : Brigitte Besson)
PARIGO MAX
(Photo : Brigitte Besson)
THE WALL (close-up)
(Photo : Brigitte Besson)
THE WALL
(Photo : Brigitte Besson)

Prix sur demande

DR / David Weber pour la Vanderlove Letter 2020